Paris, capitale française de l’immobilier ?

Dans une France centralisée à tous les niveaux, malgré la volonté et les actions d’implantations provinciales, il est évident que le pôle d’attractivité de Paris reste une valeur constante. On ne change pas une valeur ancrée dans l’esprit des gens, qu’ils soient français ou étrangers quant à l’évidence d’un investissement immobilier à Paris.
Paris ne se résume plus par la ville elle-même, mais le Grand Paris est l’excroissance naturelle de la capitale. Les axes routiers, puis les réseaux ferrés en dessinent toujours davantage le contour. Il était longtemps vrai que les communes à l’ouest de Paris avaient un attrait certain pour les classes aisées. Cette vision des choses s’est modifiée avec les développements industriels, résidentiels et culturels. Ainsi, l’est de Paris qui peinait à prendre essor est devenu une large banlieue pavillonnaire, mais aussi fortement appréciée pour le logement social. La logique des constructions sociales développées dans la banlieue nord de Paris, signe d’une urbanisation populaire s’est muée grâce au l’apparition du Grand Paris. En divers points sont constatées des zones dites résidentielles, souvent composées de maisons plus chères. Il s’agit bien du signe de la linéarité d’appréciation de l’immobilier du Grand Paris qui tout en se maintenant fortement principalement vers l’ouest de Paris a trouvé d’autres développements non négligeables. Les diverses réglementations favorisant la construction de logements sociaux ont pour une part participé à une véritable mixité sociale, mais aussi à un logement social non marqué socialement. Ceci est un des grands changements en relation directe avec l’implantation géographique de ces logements sociaux. Le logement social est le fonds de commerce des organismes ou sociétés dont c’est l’activité principale. Il l’est aussi depuis les lois afférentes imposant un quota de logements sociaux sous peine de pénalités. L’aubaine se retrouve du côté des municipalités qui ont ici l’occasion de se constituer un patrimoine malgré elles.

Il est un fait que l’on constate aux alentours immédiats ou plus éloignés de Paris depuis longtemps ; il n’existe pas de centre (cœur de ville), mais des centres d’attractivité comme à Paris. Paris est divisé en arrondissements, des points d’intérêts existent depuis tous temps ici ou là ; une place, une rue ou un quartier. La pénurie constante de biens, malgré la moindre présence d’acheteurs maintient les prix à un niveau assez fort. Ce que l’on appelle le marché et le constat de cette pénurie de bien, surtout à un prix (acceptable) du marché. Il est à noter que sur les anciens emplacements de fortifications, matérialisés par les boulevards des Maréchaux ont été bâtis des logements sociaux actuellement aussi très recherchés.

À Paris, le marché de l’ancien prédomine à cause de la rareté du foncier disponible et les quartiers disposent d’une cote immobilière qui se constate par l’emplacement des immeubles et celle de leur construction (pierre de taille). Des critères deviennent vite essentiels lorsqu’il est proposé un emplacement de voiture avec le logement. L’expression « Paris sera toujours Paris » est encore constatable dans cette pénurie intrinsèque, Paris est enserré dans son périmètre. Si on avait la possibilité de prendre le large il y a des biens moins chers pour le reste de sa vie au soleil

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